Le personalité de François Ferdinand

L'historien allemand Michael Freund décrit François Ferdinand comme «un homme d'énergie sans inspiration, sombre en apparence et d'émotion, qui rayonnait d'une aura d'étrangeté et de jeter une ombre de la violence et l'insouciance ... une vraie personnalité au milieu de l'inanité aimables qui ont caractérisé la société autrichienne à ce moment.» Une citation de son ancien admirateur Karl Kraus décrit parfaitement M. Ferdinand, «il n'était pas celui qui vous saluent ... il ne sentit aucune contrainte pour atteindre pour la région inexplorée dont les Viennois appellent leur cœur». Les commentaires et les ordres qui l'héritier du trône a écrit que les notes de marge pour les documents de la Commission centrale pour Imperial conservation architecturale (où il a été Protecteur) révèlent ce qui peut être décrit comme «conservatisme colérique.» Il avait un penchant pour la chasse au trophée qui a été excessive, même par les normes de la noblesse européenne de cette époque. Dans son journal il a gardé la trace de quelque 300.000 tue du gibier, 5000 ont été des cerfs. Une petite fraction des trophées ont été exposées dans son château de Bohème au Konopiště lequel il a également farci d'antiquités diverses, son autre passion grande collection.